Vous avez une question concernant vos droits par rapport à un PV, votre assurance ou tout autre sujet lié à votre véhicule, demandez notre avis, Caradisiac vous répond dans sa rubrique « Vos questions – Nos réponses ».
Le progrès c’est magnifique, mais lorsqu’il est électronique, il n’est pas sans inconvénient. La fiabilité, que l’on appelle dans ce secteur des bugs - ce qui donne, tout de même, l’impression d’un fait moins grave et presque ludique - est parfois prise à défaut, ici comme ailleurs. Les voitures connectées nous en donnent régulièrement la preuve. Avec des situations inquiétantes. Mais il est d’autres domaines où il faut aussi être vigilant. Par exemple, l’e-constat.
Quelques semaines après l’annonce faite par la Chancellerie d’une intention de ranger parmi les contraventions les défauts de permis de conduire et d’assurance, cela sonne comme un rappel au règlement. Soit on choisit de décongestionner les tribunaux, soit on se mobilise pour la cause de la sécurité routière. C’est cette dernière option qui est ici privilégiée, avec cette initiative d’une Inspection générale de l’administration qui a décidé de donner les moyens aux forces de l’ordre de partir à la chasse aux véhicules circulant sans assurance. Qui seraient peut-être bien plus nombreux que ce que l’on croit.
Transformer le délit de conduite sans permis en une simple contravention est un sujet sensible, et pour l'heure, surtout mal compris. A première vue, le signal envoyé est en effet celui d'alléger les sanctions pour les auteurs d'une infraction grave. Rien n'est toutefois décidé. Il semblerait que le gouvernement ne soutienne que du bout des lèvres cette disposition. Cette proposition a en tout cas le mérite de dévoiler, au moins en partie, les sanctions réellement infligées en pareils cas. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elles sont aléatoires et grandement moins sévères que l'on ne pourrait le croire ! Caradisiac lève le voile sur ce contentieux finalement peu connu.
L’écho de la dramatique déflagration qui a secoué le port de Tianjin n’a de cesse de se répercuter sur une économie chinoise qui, par ailleurs, ralentit. L’empire du milieu n’avait pas besoin de ce malheur au moment où l’élan de son activité est contrarié par la conjoncture. Il faut dire que les explosions qui ont dévasté une partie d'un des ports les plus actifs du monde. Pour mémoire, on rappellera que la ville meurtrie pèse économiquement autant que la République tchèque.
C’est un fait divers qui a un peu plus alerté sur un phénomène qui semble prendre de plus en plus d’ampleur. Avec la crise, les frontières ouvertes et la capacité des délinquants à flairer les secteurs aussi divers que variés susceptibles d’exacerber leur malfaisance et leurs revenus, le marché de l’automobile d’occasion prend des allures de jungle dangereuse où les pièges sont légion. La réglementation et les experts automobiles ont de plus en plus de mal à tenir le milieu. Et ce d’autant moins que certains de ces experts sont eux-mêmes sans scrupules. C’est ce qu’a mis à jour une enquête des Gendarmes de la section de recherches (SR) de Paris qui nous révèle qu’aujourd’hui, des milliers d'autos mal réparées circulent avec l'aval de professionnels complices.
Le principe de l'économie circulaire, vous connaissez ? Il vaudrait mieux car il risque bien de changer notre budget automobile et la matrice de la réparation automobile. D'ailleurs, il fait tourner en bourrique les professionnels et posera à
Les taxis auront beau vivement le regretter, de nouveaux profils d'acteurs apparaissent dans le domaine du transport de la personne. Un mouvement qui se confirme comme irréversible puisque les acteurs collatéraux l'ont pris en compte dans leur calcul. Et non des moindres, puisqu'il s'agît des assurances. On aurait pu penser que, pris dans ses procédures judiciaires qui doivent apporter beaucoup de réponses, l'enseigne Uber, si puissante soit-elle, ferait fuir. Il semblerait que non puisque l'on apprend qu'en France, l'enseigne a trouvé un partenaire de choix : la filiale tricolore d'Allianz.
Il aura fallu attendre 16 ans pour en arriver là. Une décision de justice cependant susceptible d'appel mais dont l'exécution provisoire a été décidée. Un drame de la route qui a frappé une enfant de 14 mois aujourd'hui âgée de 17 ans et tétraplégique. Un événement qui est arrivé devant les tribunaux car les victimes n'étaient pas d'accord avec l'indemnisation calculée par leur assurance, en l'occurrence l'enseigne GAN.
L'étude a été faite du 16 au 30 décembre dernier auprès de 1 510 automobilistes interrogés sur leur comportement. Commandée à l'enseigne TNS Sofres par l'association Axa Prévention, elle met en lumière un relâchement de la discipline au