Le feuilleton du « dieselgate » suite mais certainement pas fin. Une saga à la longévité assurée au moins autant que les « feux de l’amour » sauf qu’ici nous sommes enveloppées par une « fumée de la haine » qui cerne les constructeurs automobiles. Ces derniers sont coupables de jouer sur les valeurs de leurs émissions polluantes tout en contournant une procédure d’homologation par ailleurs opaque. L’affaire n’est pas seulement un thème de tromperie sur la qualité. C’est aussi un scandale de santé publique.
In vino veritas ? C’est à se demander et le sujet pourrait être léger si les faits n’étaient pas aussi dramatiques. Mais les enquêteurs allemands n’en reviennent toujours pas. Parce qu’un conducteur s’est fait prendre deux fois en alcoolémie dans la même soirée, ce dernier a fini par avouer un meurtre. Commis il y a vingt-cinq ans.
C’est le principe de précaution qui a prévalu chez Mercedes lorsque l’anomalie technique a fini par se vérifier. Par les temps qui courent, mieux vaut prévenir que guérir, d’autant plus que la faiblesse relevée concerne aussi le marché américain. Et on ne rigole pas avec les clients de l’Oncle Sam. De quoi s’agit-il ? D'un risque de surchauffe au démarrage. Explications.
La Chine a l’intention de faire de son marché une opportunité pour des voitures électriques en faveur desquels des quotas seront établis afin de mieux les imposer. Un signal clair pour les constructeurs qui vont devoir dévoiler leurs batteries pour que le courant passe avec les autorités du premier débouché mondial. Message reçu par L'Allemagne dont la chancelière est montée au créneau pour défendre ses marques nationales.
Ce n’est certainement pas ici que l’on va vous apprendre qu’entre le monde du bateau et celui de l’automobile, il existe des joints qui scellent des destins en commun. Parfois, la frontière est aussi qu’un papier de cigarette et c’est justement le spécialiste du hors-bord du Cigarette Racing qui a décidé de sortir un modèle spécial en l’honneur d’un bolide seulement accessible aux fumeurs de gros cigare : la Mercedes-AMG GT-R.
Le parfum du scandale du dieselgate commence à envelopper les hauts dirigeants de Volkswagen qui se voient contraints de s’expliquer devant la justice et autres commissions d’enquête. Il en est une en Allemagne qui tente de faire son office et elle est d’ordre parlementaire. Pour travailler, elle doit procéder à des auditions. Or on apprend que l'ex-président du directoire puis du conseil de surveillance de Volkswagen Ferdinand Piëch refuse de s'exprimer devant elle.
Dans le cadre d’un « Dieselgate » qui pèse lourdement sur son atmosphère, Volkswagen devait déjà faire face aux États puis aux consommateurs de ces États sans parler de ses propres concessionnaires exerçant de par le monde. À ce contingent se joignent à présent les sociétés qui lui ont fait confiance pour sa flotte. Et qui ont bu la tasse. Quoi de plus normal lorsque cette société est distributrice de produits de la mer Deutsche See.
Le spécialiste des véhicules de transport sans chauffeur Uber a réussi un joli coup en se mettant dans la poche le groupe Daimer-Benz. Ce dernier lui fournira des voitures pour son activité dans un futur proche. Mais les chauffeurs de la plate-forme américaine n’ont pas à se réjouir de cette nouvelle. Ils ne rouleront pas en Classe S pour autant et, même, ils risquent de ne plus rouler du tout. Puisque l’accord porte sur la mise à disposition de voitures autonomes.
Voici un arrêt fraîcheur dans une actualité parfois lourde. Une récréation d’autant plus sympathique qu’elle nous vient de chez Volkswagen, marque où l’on ne rigole pas tous les jours depuis la révélation du scandale du « Dieselgate ». Enfin, dans une atmosphère donnant la part belle à la répression, c’est le genre d’images qui bougent vite que l’on croyait banni à jamais. Voici le bus mené à la cravache par un chauffeur bien particulier. Et Macron n’y est pour rien.
La fumée des moteurs diesels truqués ne cesse de monter dans une affaire Volkswagen qui a éclaté en septembre 2015. Une fumée qui s’est élevée jusqu’aux hautes sphères, enveloppant à présent l’ex-patron Martin Winterkorn. Il avait récemment juré de son innocence devant une commission parlementaire. La justice semble penser exactement le contraire.