Première vidéo de la Mazda 3 restylée (2017) : les premières images en live et impressions de conduite

Lancée sur le marché à l’automne 2013, la Mazda 3 passe par la case restylage. Difficile de distinguer du premier coup d’œil une version 2017 de l’actuelle. La compacte japonaise reconnue pour son élégance reçoit un liseré chromé sous la calandre un bouclier légèrement modifié et des antibrouillards remodelés. Le logo Mazda est aussi légèrement abaissé par rapport au capot. A bord, les évolutions sont encore plus timides. Seul un nouveau volant plus ergonomique fait son apparition.L’affichage des informations et des menus sur l’écran multimédia tactile se veut également simplifié.

Vidéo tournée en direct de Barcelone le 1er décembre 2016. Si vous avez raté le live, le replay est disponible ci-dessus.

 Le plus important à souligner c’est l’arrivée du système de contrôle vectoriel de couple baptisé « G-Vectoring Control », inauguré sur la Mazda 6. Il s’agit d’une répartition du couple entre les roues dans les virages pour faciliter la trajectoire et limiter au maximum le sous-virage.

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Enfin, côté moteurs, la Mazda 3 2017 n’évoluera pas. On retrouvera ainsi en essence les blocs SkyActiv-G 2.0 litres 120 et 165 ch et en diesel les blocs SkyActiv-D 1.5 litre 105 ch et 2.2 litres 150 ch. Avec un choix de transmissions mécanique et automatique à 6 rapports.

Premières impressions de conduite

C’est au volant d’une version essence équipée du moteur Sky-G 2.0 de 120 ch que nous avons mené cet essai. Silence et douceur de fonctionnement caractérisent ce bloc qui, grâce aux ingénieurs japonais, n’a pas besoin d’opter pour une baisse de sa cylindrée afin d’offrir un appétit maîtrisé. En usage mixte, nous avons relevé une moyenne de 6,5 l/100 km. Le 2.0 est élastique et accepte de rependre bas ce qui facilite les dépassements. Il est aussi très bien exploité par la BVM6 à la commande précise et agréable. Mazda propose même de l’associer à une boîte automatique à 6 rapports.

La nouveauté, c’est l’arrivée du système G-vectoring, apparu il y a quelques mois sur la Mazda 6. Il s’agit d’une répartition du couple entre les roues dans les virages pour faciliter la trajectoire et limiter au maximum le sous-virage. Le renvoi du couple effectué en quelques millisecondes est quasi imperceptible au volant. Toutefois, nous avons bel et bien constaté une sorte de « mini catapultage » en sortie de virage sur notre Mazda 3 deux roues motrices. Le confort phonique progresse grâce à l’apport de nouveaux matériaux sur les joints et les vitrages, ce qui rend les longs trajets encore plus confortables. Au global, le comportement routier reste de haut niveau, sûr et efficace, et positionne selon nous la nippone parmi les meilleures compactes évoluant en Europe.