Hier la loi était faite par les rouges et les gommes nippones, pour la qualif, la réponse a été Yamaha et Michelin. Edwards, celui que l'on dit bientôt remplacé, assure un superbe doublé pour le team aux diapasons alors que c'est une belle séance pour le bib qui se place en pleine première ligne, puisque le troisième homme de celle-ci n'est autre que Dani Pedrosa.
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Les bruits de couloir de plus en plus forts spéculant sur un remplacement d'Edwards par Lorenzo aux côtés de Rossi dés l'année prochaine, ont fini par déranger le prodige de Tavullia. Suffisamment pour qu'il envoie par quelques phrases sibyllines son sentiment sur cette conjoncture à son employeur.
Si une évolution significative côté mécanique est attendue chez Yamaha pour le Mugello, les techniciens des diapasons ont néanmoins bien l'intention d'éprouver une nouvelle solution moteur pour cette manche turque du championnat.
Il était arrivé à Valence avec la ferme intention de reprendre l'ascendant sur son turbulent équipier qu'il soupçonne de profiter de ses réglages. Fort de ses déjà cinq succès sur ce tracé, Troy Corser pensait bien finir le week end en leader du team Yamaha et en principal rival de Toseland.
Colin Edwards a tout intérêt à sortir une saison exceptionnelle cette année s'il veut garder son guidon en Moto GP. Déjà sur la sellette l'an dernier, mais sauvé par un Rossi qui l'apprécie et qui se méfiait de l'arrivée d'un Stoner, il semble bien que cette fois Yamaha veuille préparer la relève pour 2008.
Les Etats Généraux du Moto GP se sont tenus à Barcelone le 12 avril dernier. En compagnie des teams de la catégorie reine, mais sans aucun représentant des autres disciplines, il n'y pas seulement eu que les questions de marketing qui ont été abordées. Mais bel et bien la physionomie globale future de la totalité du paddock.
La pole et la victoire, Maxime Berger n'a pas fait dans le détail lors de cette seconde manche du championnat SuperStock 600 qui s'est déroulée sur le tracé détrempé de Valence. L'ex-sociétaire du team Kawasaki en SuperSport justifie de manière éclatante son repli stratégique vers ses premières amours.
Troy Bayliss en pole provisoire alors qu'il s'habitue à peine à vive avec un petit doigt encore plus rachitique et que des douleurs dans l'aine le tenaillent toujours, c'est déjà pas mal. Mais dans le paddock de Valence, il y a plus fort. Et c'est du côté du SuperSport et de Yamaha que l'on trouve les champions du chemin du calvaire.
Il n'est pas que dans les catégories 125 et 250 que Honda ait donné sa vision du futur du monde des Grand Prix. La catégorie reine, le Moto GP, motive aussi les desseins du premier constructeur mondial. Mais que l'on se rassure.
Yamaha est en accord avec son pilote phare Valentino Rossi quant à son verdict sur sa vitesse de pointe. La GP7, sur ce plan, est devenue l'épouvantail, mais du côté d'Iwata, on prépare la riposte. Mais même si ça bosse fort, la réplique ne sera pas du voyage pour la Turquie, et certainement pas non plus pour la Chine, deux des quatre tracés que craint le « Doctor ».
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