Importée depuis le mois de juin dernier par la société 1pulsion, la marque espagnole Leonart refait surface sur l'hexagone avec la Daytona 125 comme unique modèle proposé au catalogue. Aujourd'hui, deux séries limitées sont commercialisées dans le réseau au prix de 4799 € soit un surcoût de 300 € par rapport à la version Standard.
Chez Triumph on est passé maître dans l'art de décliner à satiété un même modèle. Un exercice dans lequel les Britanniques se sont aguerris avec la Bonneville. Une recette, aussi, qui marche. Du coup, pour le prochain salon de Milan, le blason d'Hinckley va nous sortir une portée de sa Tiger 800.
On a eu la Bonneville Newchurch en entrée, la version T214 en plat de résistance et la Spirit en dessert. Avant de quitter la table, on vous offre le café. Le genre expresso, bien serré, dans la bonne tradition des Café Racer. Voici la Thruxton Ace dont le nom, une fois encore, est tout une histoire.
Ce qui est bien avec la Bonneville c'est que ce n'est jamais fini. Non seulement elle a traversé les âges mais en plus elle aime faire de l'exception la règle. Entendez par là que les séries spéciales sont le quotidien si bien que le modèle standard devient presque une pièce unique. Vous avez aimez la T214 ?
Chez Triumph la Bonneville s'assure toujours d'un triomphe. D'ailleurs, pourquoi Bonneville ? Parce que T214. Les Britanniques ont décidé de nous faire un rappel sur l'histoire et de la manière la plus agréable qui soit. Plutôt que le tableau noir, ils nous sortent une déclinaison bleue et blanche de la classique.
Prenez une Triumph Street Triple R et une Daytona, mélangez le tout et vous obtenez la Street Triple RX, la Street la plus ultime. Impossible de ne pas la remarquer cette Street Triple RX. Si l'avant demeure inchangé, c'est surtout la partie arrière qui évolue puisqu'il s'agit de la boucle arrière de la Daytona, rien que cela.
Les nouveautés sont à l'eau à Cologne, un parfum de renouveau et de révolte aussi avec des modèles décalés par rapport à une époque qui voudrait nous faire entrer dans les ordres. Mais il y a aussi des valeurs sûres telle la Bonneville qui est pour Triumph de l'eau bénite. Une religion pour certains.
Triumph rend hommage au Ace Café londonien de Brighton en mettant à son catalogue une Thruxton joliment habillée. Le vintage a le vent en poupe… c'est le moins que l'on puisse dire, Triumph l'a bien compris et dégaine une version Ace. Joliment réalisée cette nouveauté 2015 arbore fièrement le célèbre logo que l'on retrouve dans tous les sens.
Voilà une annonce en Inde qui attire l'attention de ce côté-ci de la planète. Car c'est sous ces latitudes que se décident à présent les gammes de demain. Le marché y est florissant et la clientèle y monte en puissance. Triumph est donc fier d'y annoncer un nouveau modèle pour le 18 septembre prochain.
La tricolore Midual 1 envoie du bois et exsude le cuir dans un ensemble précieux de bonne facture, celle-là même qui s'élève à 140. 000 euros. Des matériaux qui semblent faire florès pour des concepts ou des motos d'exception. La preuve avec cette Triumph Scrambler pensée par l'amazone Sarah Lahalih.
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