
Cette épreuve d'endurance réservée aux motos classiques d'avant 1981 (enfin, en principe! ! ! . . . ), connaît un tel succès que de nombreux engagements n'ont pu être honorés.
Cette épreuve d'endurance réservée aux motos classiques d'avant 1981 (enfin, en principe! ! ! . . . ), connaît un tel succès que de nombreux engagements n'ont pu être honorés.
En 2011, Suzuki s'est occupé des GSX-R 600 et 750 en les revoyant du sol au plafond. Après avoir pris les commandes de la 600 sur route mais aussi sur piste, nous pouvons vous le dire haut et fort, ce millésime et une réussite si l'on n'évoque pas son tarif. . . qui a fait un bon de 1 000 €uros par rapport au modèle précédent.
Trublion des essais libres et patron de la Superpole, John Hopkins a pour le moins honoré l'invitation que lui avait accordée le Superbike pour ce rendez-vous de Silverstone. Au guidon de la Suzuki d'un team Crescent aux anges, « Hopper » a aussi démontré qu'il était de retour aux affaires pour mieux se placer sur le marché des transferts.
Tel le Phénix, John Hopkins renait de ses cendres. Après une période noire au sortir de sa carrière en Moto GP, faite d'écarts de conduite et d'une grave blessure au poignet, « Hopper » est revenu aux affaires à force de volonté mais aussi d'encouragements de la part de la branche britannique de Suzuki.
John Hopkins n'est définitivement pas venu à Silverstone pour faire de la figuration. Lors de la Superpole déterminante pour la mise en grille du plateau, le pilote Crescent Suzuki a donné la leçon en gérant parfaitement un exercice qu'il redécouvrait avec, notamment, la règle de deux trains de qualif pour trois occasions.
La hiérarchie du Superbike est toujours aussi indéterminée sur un tracé de Silverstone ensoleillé. Pour la seconde séance qualificative, John Hopkins a tenu à faire remarquer que son meilleur chrono de la première séance libre de la veille n'était pas un accident puisque le pilote Suzuki s'est inscrit en haut de la feuille des temps.
Avec trois victoires et trois secondes places en six courses, Jimmy Maccio au guidon de sa Kawasaki ZX10R est l'homme fort de cette catégorie. Avec 34 points d'avance sur Laurent Derine (Yamaha R1), il peut commencer à penser au titre en fin de saison.
Il n'y a que treize points d'écart entre les quatre premiers au classement général provisoire au moment d'aborder cette quatrième confrontation sur le tracé parisien. Quatre Yamaha R6 dont la suprématie est à peine contestée par des Kawasaki ZX6R qui ont quand même réussi à monter deux fois sur la plus haute marche du podium depuis le début de la saison.
Selon le site MCN, le team LCR réfléchit sérieusement à remplacer son actuel et seul pilote Toni Elias, dont les prestations sont si désastreuses qu'elles font fuir la poignée d'investisseurs que Lucio Cecchinello tente de fidéliser à la course. La solution recherchée est de prendre John Hopkins dans ses filets.
Ancien pilote officiel Ducati, on ne donnait pas cher de la peau de Michel Fabrizio cette saison au moment d'entamer sa campagne sur une Suzuki GSX/R elle même délaissée par l'usine. Habitué au twin, l'Italien a dû d'abord refaire ses gammes avec le quatre cylindres. Mais progressivement, l'alchimie s'est faite.
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