Souffrant d'un genou et défavorablement remarqué à la suite d'un geste en piste qui ressemblait fort à un coup de boule, Kenan Sofuoglu a décroché, d'une courte tête, sa première position de pointe de la saison en Supersport.
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C'est sans aucun doute à l'une des plus longues Superpole de l'histoire du Superbike à laquelle on a assisté en République Tchèque cet après-midi. Il aura fallu en effet pratiquement deux heures pour qu'on en finisse, avec une série d'événements qui a fait de l'exercice un véritable feuilleton à rebondissements.
Homme de la Superpole cette saison, Tom Sykes a pris ses dispositions pour dominer à nouveau un sujet qu'il maitrise mieux que la course avec sa Kawasaki. En tête à l'issue de la dernière séance qualificative, l'officiel d'Akashi devra tout de même surveiller comme le lait sur le feu le meilleur performer de la veille Davide Giugliano, une fois encore impeccable sur sa Ducati Althea.
Si le Superbike perd, on l'espère provisoirement, Sylvain Guintoli qui arrête sa collaboration avec le team Liberty qui engageait pour lui une Ducati, le Supersport retrouve quant à lui Florian Marino. Le tricolore a stoppé en effet une expérience en BSB qui se révélait peu fructueuse avec une Aprilia trop isolée, pour revenir à ses premières amours.
A Dijon, le championnat de France SBK a connu une météo encore capricieuse, les Supersport prennent leur premier départ sur une piste encore humide avec du vent. Grégory Leblanc prend le meilleur départ devant Denis Bouan et David Perret. Bouan parvient à passer Leblanc dès le 2ème tour mais ce dernier reprend son bien de suite.
A Kegums, la pluie du matin a bien arrosé la piste, meilleur départ de Butron suivi de Van Horebeek, Tixier, Searle, Nicholls et Tonus. Herlings étant mal parti, Searle doit reprendre des points et attaque de suite Van Horebeek qui prend la première place.
C'est le désamour qui prévaut en ce moment entre le team Forward Racing et les tenants du projet Suter-BMW. Une ambiance délétère entretenue par un Colin Edwards las de se battre avec une moto à l'électronique Bosch stigmatisée comme la mère de tous les maux.
La Kawasaki ZX-10R tient le haut du pavé de l'actualité cette semaine. Des Etats-Unis nous sont parvenues les dernières évolutions promises sur le Ninja, avec, certes, un coloris immaculé, ou presque, qui sera réservé aux clients résidant chez l'Oncle Sam, mais avec, aussi, un amortisseur de direction électronique Öhlins.
Les Newbee, pour faire simple, c'est pour les débutants. En clair, elle a été créée dans le but de facilité l'accès à ceux qui veulent tenter l'expérience de la course. Accessible dès quinze ans pour prendre le guidon d'une 600cc 4 cylindres, d'une 675cc 3 cylindres ou d'une 749cc bicylindres (à condition d'être titulaire d'un C.
En 2013, on pourra se payer une Kawasaki ZX-10R habillée d'une robe blanche. Mais pour autant, il ne sera pas si facile d'en célébrer l'union puisque le mariage n'est prévu que pour le marché américain. Seuls les Etats-Unis auront donc droit au Ninja blanc.
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