
Ces tests auraient été sans nuage si un certain Aoyama ne s'était ingénié à s'approprier la vedette en alignant des chronos de belle facture. Mais Marco Simoncelli l'assure, il n'était pas là pour ça et il a refusé le combat avec le temps, même s'il fait quand même une allusion au sablier au moment de faire le point sur son expédition malaise: « J'aurais bien voulu être un peu plus rapide, mais ce n'était pas l'objectif.