
Lorsque l'on s'appelle BMW, KTM ou encore Ducati, on se frotte les mains au moment d'annoncer son bilan semestriel et ses projections annuelles en montrant que, d'un exercice à l'autre, les ventes grimpent. Comme une tradition à valeur d'exploit dans un environnement pourtant non seulement concurrentiel mais aussi qui se tente encore de se remettre de la crise de 2009.