
Au moment d'écrire ces lignes, rien n'est moins certain que la tenue d'un Grand Prix du Japon pourtant déjà reporté en octobre en raison du cataclysme qui a bouleversé le pays le mois dernier. Car les dégâts subis par le site du Motegi ne sont pas anodins tandis qu'inévitablement se pose la question du danger de la contamination nucléaire.