
L'usine Ducati a réussi pendant pas moins de trois jours à transformer Jerez en camps retranché. Pourquoi ? Afin que Franco Battaini et Carlos Checa puissent rouler tranquillement avec une GP12 qui s'annonce comme la moto la plus sensible, sportivement et politiquement parlant, que Borgo Panigale n'ait jamais produite depuis son aventure en Grand Prix.