Les ambitions de Toyota Occasions pour 2023
Comme la plupart de ses concurrents, le n° 1 mondial compte sur l’essor de ses ventes d’occasion pour assurer une meilleure rentabilité à son réseau.

Si, au moment de nommer son label occasion, Toyota France a visiblement manqué d’imagination, la filiale tricolore du groupe japonais ne manque, en revanche pas d’ambitions le concernant. En effet, elle vise 75 000 ventes pour cette année, soit une hausse de 15 % par rapport à 2022, qui enregistrait déjà une augmentation de 15 % par rapport à 2021.
Pour réussir, Toyota compte beaucoup sur son offre hybride, la plus large du marché. Ainsi, l’an dernier, 61 % des Toyota Occasions livrées étaient dotées de cette technologie. Et le constructeur espère atteindre les 70 % en 2023.
Autre axe mis en avant pour atteindre cet objectif, la multiplication des rachats cash, c’est-à-dire le rachat d’un véhicule à un particulier sans que celui-ci en acquière un autre dans le même point de vente. Cette méthode d’approvisionnement a représenté 35 % des stocks des concessionnaires l’année passée.
Au travers des ventes de voitures de seconde main, la marque japonaise vise le développement de l’activité, et de la rentabilité, de son réseau au travers de deux axes. Tout d’abord, la vente d’un véhicule d’occasion laisse souvent une meilleure marge que celle d’un neuf. Ensuite, en convainquant de nouveaux clients d’adopter la marque, les concessionnaires devraient s’assurer un flux complémentaire de clients pour leur service après-vente.
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération