L'électrique est un succès en Allemagne et Alpine est en proie à des rumeurs
L'ACTU DE LA SEMAINE EN PHOTO - L'écurie de F1 de la marque de Dieppe va-t-elle survivre ? Nos voisins allemands sont-ils plus fans de la voiture électrique que nous ? Ce sont quelques-unes des questions soulevées ces derniers jours.

Le faux succès de l'électrique en Allemagne

Le chiffre a de quoi impressionner les analystes de ce côté-ci du Rhin. En Allemagne, les ventes de voitures électriques ont bondi de 40 % depuis le début de l'année. Mais qu"est ce qui peut bien expliquer un tel emballement ? Il s'agit d'un simple calcul. Les constructeurs doivent respecter les fameuses normes CAFE qui les obligent, d'ici trois ans, à ne pas dépasser 81 g d'émissions de C02 en moyenne sur l'ensemble de leur gamme. Alors, pour ne pas payer les lourdes amendes liées au dépassement, ils bradent leurs VE pour faire baisser leur taux moyen. Des remises qui coûtent moins cher que les sommes qu'ils devront verser à Bruxelles. Vous avez dit engouement pour une technologie et le respect de l'environnement ?
Retrouvez en détail ce curieux phénomène.
Qui peut dire l’avenir d’Alpine ?

Entre une écurie de Formule 1 pas franchement au top de sa forme, et un plan produit très électrifié, dans un marché qui n’est pas vraiment prêt, la marque de Dieppe cherche sa voie. Alors elle tente de jouer de sa sportivité en proposant une version compétition de son A290, sans vraiment de programme de course à la clé. Quant à la F1, son paddock bruisse de rumeurs sur un possible abandon d’Alpine qui pourrait redevenir l’écurie Renault. À suivre.
Retrouvez la présentation de L'Alpine A290 rallye
Stellantis lance l’appel du 2 juillet

Trop c’est trop. Pour Jean-Philippe Imparato, patron de Stellantis pour l’Europe, les normes d’émissions de Bruxelles, appliquées aux utilitaires sont un objectif inatteignable dans le délai de 3 ans qui est désormais accordé aux constructeurs. Pour lui, si Bruxelles ne bouge pas d’ici quelques mois, il estime que les amendes que son groupe devra verser pourraient atteindre 2 milliards d’euros en 2027.
Retrouvez les déclarations complètes de Jean-Philippe Imparato.
Ferrari révise ses classiques

En découvrant la nouvelle Amalfi, certains seront déçus par un style qui évolue peu, et même qui s'assagit. Tous les autres seront sidérés par sa ligne classique et intemporelle proche de la perfection. En tout cas, le nouveau coupé 2+2 de Maranello, s'il ne renverse pas la table du design fait évoluer celle de la technique avec. un V8 biturbo de 3,9 l et 640 ch. Elle remplace la Roma qui tire sa révérence après cinq petites années de service.
Retrouvez tous les détails de la nouvelle Amalfi
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération