
Avec son marché à 27 millions de véhicules, le marché chinois est carrément une question de survie pour des constructeurs automobiles qui n’ont par ailleurs plus les coudées franches pour y vendre ce qu’ils veulent. Il faut construire en Chine et faire attention comment on construit ce que l’on y vend. Ces dernières années, des affaires d’ententes sur les prix aux différents stades de la production automobile ont fait grand bruit et ont coûté cher. À présent, la même Chine s’apprête à bouleverser la donne en imposant des quotas de véhicules électriques et hybrides dans son marché. Des quotas qui seront révélés ces prochains jours. C’est donc le moment de régir et c’est ce qu’a fait le groupe Renault-Nissan.