Le Mercedes Sprinter a été revu de fond en comble en 2006. Depuis, il caracole, en compagnie de son cousin Volkswagen Crafter, en tête des fourgons « premium »… Et pour cause : ils n’ont guère de concurrents.
Seul fourgon monocoque à propulsion, le Mercedes Vito Compact affiche de solides capacités routières. La dernière évolution repose sur l’apparition du moteur 120 CDI de 204 ch, en octobre 2007.
Mercedes commercialise un Sprinter fonctionnant au GNV (Gaz Naturel Véhicule). Déjà fort répandu en Italie et en Allemagne, ce carburant souffre en France d’un réseau de distribution encore symbolique. Mais les choses pourraient évoluer rapidement, car le GNV bénéficie d’une taxation allégée et d’incitations fiscales intéressantes.
Chez Mercedes, le label Blue Efficiency passe par un travail de fond sur l’allègement, la résistance au roulement et l’aérodynamisme. La Classe C200 CDI, entrée de gamme de la griffe écolo allemande, affiche des niveaux de consommations extrêmement bas. Mais fait-elle pour autant l’impasse sur le confort et l’agrément ? Réponse après 1000 km.
Face aux programmes Bluemotion de Volkswagen et Efficient Dynamic de BMW, Mercedes réplique dans ce combat écologique avec une toute nouvelle génération de moteur diesel. Un quatre cylindres downsizé au rendement surprenant.
La 6ème génération du roadster adopte les standards esthétiques de l’étoile. Au programme un nouveau faciès, quelques équipements supplémentaires mais surtout l’arrivée d’un « petit » V6 qui constituera l’entrée de gamme.
Faire du neuf avec du vieux n’est plus réservé aux constructeurs généralistes. Mercedes prouve une nouvelle fois son savoir-faire avec le CLC. Le constructeur est parvenu à revêtir l’ancienne Classe C Coupé Sport d’un habit de Classe C dernière génération. L’artifice est plutôt surprenant de la part d’un constructeur haut de gamme. Mais il y avait une réelle demande.
Le légendaire Classe G traverse le temps. Au catalogue Mercedes depuis 28 ans, ce 4X4 né pour l’armée a finalement trouvé son public dans le secteur du luxe. La cuvée 2007 s’embourgeoise de nouveaux équipements high-tech et d’un léger remaniement intérieur. Que les puristes se rassurent ce n’est pas encore aujourd’hui que le G tirera sa révérence.
Afin de compléter son offre 4x4 déjà composée du classique ML, de l’indéfinissable R et de l’immortel G, Mercedes propose maintenant le GL, qui fera son apparition dans les concessions frappées de l’étoile à la rentrée 2006. Avec sous son capot de puissantes motorisations tant en essence qu’en diesel, c’est en Islande que le constructeur allemand nous a confié son volant pour la première fois.
Après la Mercedes S350 et la S 500 à l’automne 2005, le constructeur souabe nous a convié à essayer les deux nouvelles versions de la Classe S, une presque démocratique Diesel à six cylindres 320 CDi et une S600 V12 superfétatoire. Entre les deux, si mon cœur balance – plus qu’on ne pourrait le supposer, mon portefeuille pas du tout.
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