La fin d’année est l’occasion de jeter un coup d’œil dans le rétro. Chaque jour pendant cette période des fêtes, les journalistes de la rédaction de Caradisiac vous font part de leurs enthousiasmes et de leurs coups de griffes. Aujourd’hui, Stéphane, journaliste autant passionné de youngtimers que de mauvaise foi, vous donne son top/flop 2023.

Lancée en plein boom des coupés-cabriolets, la Mégane CC se distingue par son toit rétractable doté d’une partie vitrée, bien agréable. D’un look certes controversé, cette découvrable séduit toujours par sa polyvalence.

On entend souvent dire « aujourd’hui, toutes les voitures se ressemblent ». Certes, mais cela a toujours été le cas. Exemple frappant, la Peugeot 404, ressemblant énormément à la Lancia Flaminia, voire l’Austin Cambridge, ce qui n’a rien d’un hasard…

Allez, pour une fois, revenons aux glorieuses années 50 : la Jaguar Mk I y préfigure les familiales de sport dont les Allemands feront leurs choux gras jusqu'à nos jours. Ce jalon anglais de l’Histoire automobile se déniche à des tarifs abordables et, mieux, est éligible à bien des courses classiques.

Rapides, confortables, luxueuses et dotées de beaux moteurs, ces grandes routières représentent aussi l’apogée de la qualité germanique avant la décrépitude des années 2000. Et devinez quoi ? Elles ne coûtent pas très cher, pour le moment…

Au milieu des années 70, Renault a failli commercialiser en Europe un modèle plus huppé encore que sa R30, avant de judicieusement se raviser. Cette auto mort-née, c’est l’improbable R40…

Aboutissement ultime de la CX, la Turbo se signale par des performances, un comportement routier et un confort hors du commun. Monument technologique pour son époque, elle doit toutefois s’acheter avec bien des précautions.

Pour partir en vacances en famille, on peut rester banal et s’offrir une compacte diesel. Autre solution, sortir des sentiers battus avec un 4x4 de luxe au moteur raffiné, comme le Touareg V6. En connaissance de cause, naturellement…

En 2025, la Française de Mécanique, devenue Stellantis Douvrin, devrait s’arrêter de produire des moteurs thermiques, au profit des batteries, sous la bannière ACC. La fin d’une belle aventure débutée en 1969… 

Grosse puissance, quatre roues motrices et cockpit luxueux, telle est la formule de cette compacte, plus typée GT que sportive. Et ça, c’était nouveau à la fin des années 90. Surprise, aujourd’hui, ce jalon n’est pas bien cher.