Il était inévitable que l'émission Vroum sur France 3 Normandie s'intéresse au seul constructeur local : Alpine, dont l'usine est à Dieppe. D'autant que les deux pilotes maison, Esteban Ocon et Pierre Gasly sont eux aussi normands. Le 5 mars prochain, une émission spéciale sera consacrée à la marque et à ceux qui la font rayonner sur les circuits de F1. Quelque temps plus tard, toujours à Dieppe, seront célébrés les 50 ans de la victoire en championnat du monde d'Alpine.
Michel Holtz
Lui écrire24 heures après les excellents résultats du groupe Stellantis, et les piètres chiffres de Citroën, l'une de ses marques, le directeur général des chevrons, Vincent Cobée, cède sa place. Le signe d'une crise au sein de la maison qui paie notamment ses errements en matière de design.
La star absolue du foot est le nouvel ambassadeur d'Alpine pour 4 ans. Selon un site spécialisé, il serait payé 14 millions d'euros pour cette mission. Un montant que la marque s'est empressée de démentir. Au-delà de la somme en jeu, ce contrat pose un problème d'adéquation, puisque Zizou est le parrain d'une association caritative lancée par le constructeur. Il est aussi chargé de l'image de la marque, et de sa "mobilité verte" à travers le monde. Sauf qu'aux États-Unis, le pays qui intéresse le plus Alpine, le foot reste un sport marginal.
L'incroyable infrastructure de 10 km de long en région parisienne, c'est toute une aventure qui aura mobilisé le savoir-faire des meilleurs ingénieurs durant une décennie. Des péripéties qui ont les honneurs d'un documentaire bientôt diffusé par RMC Découverte.
Avec des résultats en hausse, une augmentation des marges, et le retour des dividendes aux actionnaires, le Losange va mieux. Est-il pour autant sauvé ? Rien n’est moins sûr, au risque de tempérer quelque peu l’enthousiasme de Luca De Meo
Des milliers d'emplois sont menacés chez le constructeur américain en Europe. Première visée l'usine allemande de Saarlouis pourrait fermer ses portes dans deux ans. Ses salariés espéraient, jusqu'à la semaine passée, que le Chinois Byd reprenne l'unité pour y fabriquer des batteries, mais il vient de décliner l'offre. En outre, le constructeur a annoncé la suppression de 3800 emplois en Allemagne et au Royaume Uni. Des postes administratifs et de R&D sont concernés.
La marque française pourrait bien faire cavalier seul pour s'implanter aux États-Unis. Du moins elle n'en passerait pas par la très importante implantation de Nissan pour débarquer au pays de l'Oncle Sam. Une mauvaise idée ou un pis-aller ? Quelle que soit la réponse, le débarquement des autos bleues risque d'être compliqué.
Le musée Miniatures et cinéma de Lyon expose, jusqu'au 5 mars, la voiture du film de Tim Burton de 1989. L'occasion d'une petite rétrospective des différents modèles que la plus célèbre des chauves-souris a eu l'occasion de conduire.
C’est un petit livre sobrement intitulé Croissance verte : zoom sur 50 métiers. Sorti il y a 13 ans, il détaille les mutations à venir des différents secteurs économiques dont l’automobile. Mais au fil des pages, pas un mot sur l’incroyable transformation industrielle et sociale aujourd'hui en cours dans toute la filière. Quand les politiques, comme les industriels, ne sont pas vraiment devins.
C’est ce matin qu'on été dévoilés officiellement les nouveaux accords liant Renault et Nissan pour quinze ans. On en connaît désormais les détails et notamment la participation abaissée de Renault dans le capital de son partenaire japonais. Une nouvelle alliance ou une mésalliance ? Si le partenariat capitalistique est revu à la baisse, les échanges industriels continuent.