Le Covid peut s’attaquer au cerveau, la médecine est formelle. Une chose est certaine, il nous rend un peu maboules, sinon individuellement, du moins collectivement.
Jean Savary
Lui écrireDes performances et un agrément de GTI pour une sobriété de petit diesel, la Clio hybride et sa technologie vont sauver Renault. Si la Turquie n’entre pas en guerre…
Et c’est reparti ! La proposition d’abaisser à 110 km/h la limitation de vitesse sur autoroute réveille la passion française de la vitesse et la haine des limitations. Et si on se calmait ?
Après les 30 000 morts du Covid, il ne sera pas simple de vouloir nous sauver la vie sur la route.
Tout le monde a un avis sur le pourquoi du comment et le parce que du combien de la crise que traverse Renault. Des avis qu’il fallait exprimer avant. Aujourd’hui, ce sont les idées qui manquent.
Faut-il faire relancer l’automobile plein gaz ou rouler plus sobre, plus modeste et user nos voitures ? On peut bien se poser la question, ce sont nos modes de vie qui arbitreront. Deux hypothèses pour l’après Covid.
Dans quatorze jours, la quille ! Et le cauchemar si nous retournons tous au boulot en voiture, à moto ou à vélo. La seule solution, garder une bonne dose de télétravail. Pour nous sauver du virus, mais aussi, plus durablement, du marasme économique.
Face à l’épidémie comme sur la route, c’est soi et les autres, soi ou les autres, l’Etat et moi, l’insouciance ou la prudence, le masque et le casque. Ça ne vous étonne pas, tous ces parallèles ?
Pic de pollution en Ile-de-France et dans le grand Est le week-end dernier. Et cela malgré un trafic automobile et aérien réduit à presque zéro. Cette fois, il faudra trouver d’autres coupables… Et remettre la rationalité au cœur de l’écologie.
L’épidémie de Coronavirus va transformer brutalement et peut-être durablement nos us et coutumes. Et sans doute aussi nos transports. Qui voudra reprendre le bus ou le métro ? Après les avenues désertes, bouchons en vue.