Dans l'histoire du sport automobile, le safety car n'est pas toujours le garant d'une sécurité absolue, comme son nom le laisse pourtant penser. L'homme forcément imparfait est toujours derrière le volant et dans ce cas, l'erreur n'est jamais à exclure. Voici un petit florilège de courses dont l'issue doit finalement beaucoup au safety car et à ses errements.
Les chances de voir Romain Grosjean revenir en F1 sont au plus haut. Sa côte auprès des managers de la F1 ne cessent de grimper avec ses résultats en GP2. Si ces « parrains » Gérard Lopez et Eric Boullier estiment que le franco suisse mérite une nouvelle chance, c'est désormais aussi le cas de Franz Tost, le patron de l'équipe Toro Rosso.
C’est cette semaine que se sont déroulés les premiers essais de la nouvelle Dallara d’IndyCar, une monoplace qui fera ses débuts en course l’an prochain dans la formule reine des monoplaces outre-Atlantique.
Dans son numéro de cette semaine, Auto Hebdo nous apprend que l’oncle Bernie fait tout son possible pour trouver un baquet à Maria de Villota-Comba en Formule 1.
Avec un tel nom on pense immédiatement à BMW. Erreur ! Les nouvelles i1 Super Series ne vont pas mettre en scène un éventuel futur modèle i1 signé BMW. Que nenni ; même si on se demande si cette nouvelle formule monotype pourra longtemps conserver ce nom tant BMW pourrait se montrer enclin à lancer sa horde d’avocats pour protéger son patrimoine futur !
Amateurs de Cadillac réjouissons-nous !
Voici les premières images officielles de la nouvelle Dallara – celle qui sera alignée l’an prochain lors de l’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation – d’IndyCar.
Poursuivons notre compte rendu des courses disputées le week-end passé et profitons de l’occasion pour faire un point sur deux championnats dont nous prenons régulièrement la température : les Superstars Series et le BTCC.
Aborder une course de Nascar avec une cheville cassée et l'autre victime d'une entorse ne met pas forcément dans les meilleures dispositions pour aller jouer la gagne.
Jusqu'à présent le discours de Michael Schumacher sur son avenir consistait à répéter qu'il disposait d'un contrat jusqu'à fin 2012 et qu'il entendait le respecter. Revirement de situation avec les premières interrogations du pilote sur, non pas sa volonté de poursuivre, mais sur l'intérêt pour l'équipe de sa présence l'an prochain !
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