
L'annonce est comme un coup de tonnerre dans un ciel sombre et gris pour la production automobile en Europe de l'Ouest. Rien ne serait donc perdu pour cette partie du monde autrefois si prospère. Une bonne nouvelle pour l'Espagne et spécialement la région de Valence. Certes. Mais sur ces 2,3 milliards d'euros annoncés par Ford il faut retrancher les 1,1 milliard d’euros qui avaient déjà été déclarés en 2011 alors que l'embellie de Valence ne doit pas masquer les fermetures de Genk en Belgique et les restructurations à Dagenham en Grande Bretagne.