La décision d'en finir avec les voitures thermiques en 2035 est un long parcours. Mais il ne semble pas semé d'embûches. Après sa validation par les députés de la commission transports à Bruxelles, une nouvelle étape a été franchie hier, avec l'acceptation du principal pays producteur de voitures : l'Allemagne.
Après le départ de Renault et la fin des activités industrielles et commerciales de nombreux constructeurs auto internationaux, la Russie pourrait relancer une marque de voiture symbolique de l’ère soviétique : Moskvitch. Une marque pourtant disparue depuis 2006.
Le groupe né de la fusion entre PSA et Fiat veut se développer sur ce marché à fort potentiel. Il va miser sur Citroën et Jeep.
Engagée dans une guerre coûteuse en Ukraine, la Russie doit également faire face à des sanctions internationales chaque jour un peu plus pénalisantes pour son économie et son industrie. Pour faire face aux pénuries de composants auto, le gouvernement russe vient d’alléger les normes de fabrication des véhicules.
Renault a signé un accord pour céder sa participation dans Avtovaz, maison mère de Lada, à la Russie.
Après deux ans de disette, Nissan gagne à nouveau de l'argent. Mais la bonne nouvelle pourrait ne pas durer en raison des difficultés d'approvisionnement, du contexte chinois et de l'avenir de l'Alliance qui se joue ces jours-ci autour de la scission annoncée du groupe Renault.
Les députés de la commission environnement du Parlement européen ont validé la fin de la vente des voitures thermiques dans l'Union dès 2035.
Malgré un bénéfice annuel record de 20,7 milliards € en 2021, Toyota reste prudent. Le géant automobile japonais reste toutefois prudent devant une situation toujours compliquée en 2022.
D'ici la fin de la décennie, Mobilize doit représenter 20 % du chiffre d'affaires du groupe Renault. Mais que va proposer cette marque ?
Avec des chiffres de vente en forte baisse, l’industrie auto vient de vivre son pire premier trimestre depuis 50 ans. En cause, la crise sanitaire qui a entraîné des pénuries de composants, des difficultés d’approvisionnement et des délais de livraison qui s’allongent. Une situation complexe à laquelle s’ajoute l’instabilité internationale liée au conflit en Ukraine.
Rechercher par sous-rubrique dans Economie / Politique