Toute l'actualité Autre actu économie / politique

Stellantis, mais aussi Ford et Toyota vont payer Tesla pour bénéficier des crédits CO2 de la marque américaine. Une façon pour eux de réduire leurs émissions et d'éviter les sanctions européennes.

Les pertes d'emplois chez les équipementiers automobiles européens ont plus que doublé en 2024. L’atonie du marché automobile et le succès contrarié des véhicules électriques sur le Vieux Continent n’expliquent pas tout.

La mise en place des zones à faibles émissions est tellement complexe qu'elle en devient comique. C'est surtout l'exemple d'une difficulté française à coordonner des politiques locales et nationales, et à sortir des impasses administratives. Du fait de cette complexité, même la maréchaussée n'y retrouve pas ses petits.

L’individu de la rédaction réputé pour son manque cruel d’affection pour les électriques en remet une couche, le monstre ! D'ailleurs, aucun modèle actuel ou à venir ne trouve grâce à ses yeux, peut-être un peu myopes...

Notre maître à tous, qui circule encore dans Paris en Abarth pétaradante, passe l'actualité 2024 à la sulfateuse.

Tout en plaidant en faveur de l'électrique, le responsable des pages d'actualité sur Caradisiac reste lucide sur les difficultés que pose cette révolution. Il a plus de mal à comprendre le double discours d'industriels qui passent leur temps à se plaindre d'un marché atone alors même qu'ils vendent leurs voitures à des prix stratosphériques, au détriment du budget des automobilistes.

Pour le patron de Renault, Luca de Meo, les tarifs des voitures électriques risquent d’être 40 % plus élevés dans les années à venir. Quelles perspectives pour les modèles à batteries abordables ?

Le prochain remaniement du système des heures creuses et pleines, évoqué ce dimanche 29 décembre sur France Info par Emmanuelle Wargon, présidente de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), permettra d’abaisser le coût de recharge de son véhicule électrique en pleine journée.

La baisse des ventes de voitures neuves aux entreprises a des répercussions au-delà du marché des flottes. Les finances publiques et les marques premium en paient également les conséquences.

Les derniers chiffres publiés par l’Observatoire National Covoiturage du Quotidien révèlent une croissance de +47 % du nombre de trajets covoiturés en un an. Exceptionnel ou durable ?