
Depuis le 1er janvier les véhicules au superéthanol-E85 bénéficient d’une fiscalité attractive. De quoi inciter les entreprises à convertir leurs véhicules essences ou hybrides en modèle Flexfuel. Jusqu'à en faire leur nouveau « diesel » ?
Depuis le 1er janvier les véhicules au superéthanol-E85 bénéficient d’une fiscalité attractive. De quoi inciter les entreprises à convertir leurs véhicules essences ou hybrides en modèle Flexfuel. Jusqu'à en faire leur nouveau « diesel » ?
Dans une industrie de l’hydrogène automobile au point mort, Toyota présente la troisième évolution de son système de pile à combustible. Cette fois, il fonctionnera dans les voitures mais aussi les camions, les bateaux et plein d’autres engins utilitaires.
Aux Etats-Unis, Toyota affiche une remise de 70% sur le prix de sa berline à hydrogène. C’est du jamais vu pour une auto coûtant normalement plus de 50 000 dollars !
Dans un marché global au ralenti, les constructeurs automobiles misent sur les professionnels pour vendre leurs véhicules. D’autant plus que les entreprises assurent un roulement des véhicules deux fois plus rapide que les particuliers.
La filière du superéthanol se rêve un destin de super-héros de la mobilité verte au-delà de 2035 et compte se faire entendre de la Commission européenne pour l'obtenir. Quitte à jouer des coudes.
Principal acteur du marché des moteurs GPL avec sa motorisation « ECO-G 100 » développée dans toute sa gamme de modèles, Dacia n'a pas réussi à empêcher cette technologie de régresser un peu sur l'année passée.
Un indice : vous aviez probablement plus de chance de croiser une Lamborghini ou une McLaren que l’une de ces voitures fonctionnant avec du dihydrogène comme combustible.
Dans un contexte où l’on se demande si les voitures à hydrogène ont encore un avenir, les ventes de la Toyota Mirai reviennent à un niveau particulièrement bas. La berline japonaise n’intéresse plus personne.
Hyvia, la coentreprise de Renault développant des utilitaires fonctionnant à l’hydrogène, serait en cessation de paiement. Pas sûr qu’on puisse un jour acheter des Renault équipées de cette technologie.
L’INFO DU JOUR – Alors que la perspective d’avoir de l’hydrogène « vert » pas cher s’éloigne tout comme les ambitions de la filière pour 2030, l’idée d’avoir bientôt des voitures grand public capables de concurrencer les autos électriques semble improbable. En revanche, il y a peut-être de l’espoir pour les modèles d’exception.
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