Réduction du CO2 à la production, diminution des coûts, mise à l'échelle de l'appareil industriel, développement du réseau de distribution : les défis de l'hydrogène sont immenses. Pierre-Etienne Franc, le patron de l'hydrogène chez Air Liquide, dresse un bilan intéressant de ce carburant que beaucoup espèrent d'avenir.
Le Duster peut maintenant carburer au GPL, ce qui lui permet d’allonger considérablement son rayon d’action sans surcoût à l’achat. Mais son petit moteur trois cylindres convient-il à une utilisation familiale ?
Pour l'instant, l'hydrogène ne vit que par des initiatives isolées, onéreuses et contraignantes. Ce carburant a donc besoin d'une politique plus claire pour l'avenir. C'est en tout cas ce qu'en pensent certains pays européens qui ont demandé à Bruxelles de fixer une feuille de route.
En pleine période de lancement de nombreux modèles électriques de la part de ses groupes automobiles nationaux, le gouvernement allemand prend le contre-pied en annonçant une enveloppe de 9 milliards d'euros pour l'hydrogène. L'objectif est de devenir le numéro un mondial.
La crise sanitaire prend une dimension écologique avec un effondrement de la demande du pétrole, ce qui bénéficie directement à la qualité de l’air que nous respirons. Mais à moyen terme, c’est aussi une mauvaise nouvelle pour la transition énergétique.
Propre, performant et renouvelable, le Gaz Naturel pour Véhicules (GNV) semble une très bonne solution pour lutter contre la pollution et le réchauffement climatique. Avec lui, les utilitaires s'affranchissent de bien des contraintes.
Faire le plein d'une Clio avec un carburant qui coûte moins d'un euro le litre, c'est possible, grâce à cette nouvelle offre GPL. Bonne nouvelle : elle est au même prix que l'essence classique.
Après l'E85, le biodiesel. Ford annonce avoir approuvé l'utilisation de gazole produit à partir d'huiles végétales hydrogénées dans son bloc 2.0 Ecoblue. La distribution a même commencé à se faire dans certains pays européens, en produit pur, ou bien dilué dans du gazole classique.
Le premier bus à hydrogène empruntant la technologie d'une voiture circulera sur les routes européennes prochainement. Plus précisément en région parisienne, avec la RATP qui va faire rouler ce H2.City Gold. Ses réservoirs lui permettront de faire 400 km sur un plein.
Le grand remplacement du Vroum par le Dzzziiii, du moteur thermique par l’électrique n'est pas encore certain. Le piston et la soupape n’ont pas dit leur dernier mot.
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