L'objectif numéro un du groupe Volkswagen est de devenir le premier constructeur mondial, et pour y parvenir, il faudra dépasser Toyota et cela n'est pas une mince affaire puisque contrairement à Volkswagen, Toyota obtient des performances plus homogènes en ayant notamment une position de force sur le marché nord américain, un marché qui fait cruellement défaut à Volkswagen (- 11 % cette année).
Du coup, pour donner plus de pouvoir aux différentes entités VW à travers le monde, le groupe a décidé selon Bernd Osterloh, directeur du comité d'entreprise, de décentraliser le pouvoir : « je pense qu'une entreprise de cette taille ne peut pas tout diriger depuis Wolfsburg. Notre approche est de centraliser autant que nécessaire et de décentraliser autant que possible ».
Cela indique par la même occasion que Volkswagen pourra proposer des véhicules plus adaptés en fonction des marchés si les patrons des différents pays peuvent avoir carte blanche. La question
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