Et si cette cinquième saison se focalisait, chaque année, chaque saison, dans une course, celle des 24 Heures du Mans.
C’est en tout cas ce que suggère Jacques Prévert dans un poème daté de 1958 issu de La cinquième saison.
Voici :
« Tourne la manivelle de satin
chantait Michèle
un beau matin
Tournent
ceux que dérisoirement la romance appelle
les jouets du destin
Tourne l'été de Vivaldi
tourne l'hiver de Varsovie
le printemps de Botticelli
tourne l'automne de n'importe qui
dans les vingt-quatre heures du Mans
Tourne la vie
tourne le temps »
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