Ce que l'on aime (ou pas) chez Top Gear, c'est leur côté petrolhead totalement assumé : on sait qu'il y a des soucis écologiques dans le monde, que le pétrole se raréfie tandis que les gaz à effet de serre se propagent, ils le savent aussi et leur seul soucis est justement de savoir dans le réservoir de quelle voiture ils feront couler les derniers litres d'essence après l'holocauste nucléaire.

Contre toute attente, malgré un goût prononcé pour les vielles anglaises, James May se tourne vers le sujet de la plupart des posters des enfants des années 80 : la Ferrari F40, qu'on redécouvre avec un plaisir sans cesse renouvelé.