L’original – Alors que ses concurrents Audi et BMW s’intéressent de plus en plus aux berlines statutaires, Mercedes met au point la future gamme W220 qu’il présentera lors du salon de Paris 1998. Cette nouvelle classe S se présente alors avec trois motorisations : la S320 épuipée d’un V6 de 3.2 litres, la S430 équipée d’un V8 de 4.3 litres et la S500 qui reçoit un moteur V8 de 4.966 cm3 développant 306 ch à 5.600 tr/mn lui procurant une vitesse de pointe (limitée) de 250 km/h. elle fut produite jusqu’en 2005 .
La miniature – Réduite par Ixo, cette Classe S séduit par le respect des lignes, volumes et coloris de la vraie. De plus elle bénéficie d’une gravure très fine malgré une finition améliorable. Du bel Ixo des beaux jours. L’avant est une pette réussite à mon goût même si l’étoile gagnerait à être légèrement inclinée – mais gare au risque de bris. Calandre et optiques sont bien dessinées, de même que les essuie-glaces sont correctement gravés. Les roues aux jantes fidèles laissent deviner des disques de freins avec étriers. Bien ! Le profil élancé est bien présent. L’arrière arbore des monogrammes peu visibles et des feux arrière correctement colorés. Si le troisième feu stop est bien présent sur la plage arrière il lui manque un trait de rouge alors que l’antenne radio pointe en haut de la lunette arrière. Le pavillon est doté d’un toit ouvrant vitré qui permet une vision améliorée de l’habitacle. Lequel abrite un mobilier bien moulé mais hélas noir alors que la planche de bord est soulignée d’une imitation bois et que le tableau de bord affiche ses cadrans. Le soubassement est un peu travaillé mais la miniature roule mal. Du bon Ixo, comme j’aimerais en trouver plus souvent.
MERCEDES S500 de 1998
Ixo – collection Mercedes, n° 46
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