Sur le stand Ford, on peut découvrir des sportives telles que la GT (superbe!) et la Focus RS. On peut aussi approcher un monospace (le nouveau Galaxy), ainsi qu'un imposant SUV – la version européanisée du Edge. Mais le gros morceau – au sens propre – c'est le pick-up Ranger, qui reçoit de nombreuses améliorations à l'occasion de ce salon.
L'engin est exposé dans sa version Wildtrack, qui se reconnaît entre autres à la finition gris foncé d'éléments de proue (calandre, boucliers...), ses roues de 18 pouces, son arceau de sécurité exclusif, ou bien encore sa spectaculaire livrée orange.
Côté techno, on note l'apparition d'un système de connectivité à commande vocale Sync 2 (complété d'un écran tactile 8 pouces), d'une aide au maintien dans la file de circulation, d'un régulateur de vitesse adaptatif avec alerte anticollision, ou bien encore d'une aide au stationnement avant/arrière (avec caméra de recul, ce qui n'est pas du luxe sur une voiture longue de 5,36 m).
Sous le capot, un bloc 2.2 TDCi fort de 130 ou 160 ch (contre 125 ou 150 ch précédemment), ce dernier étant annoncé avec une consommation moyenne de 6,5 l/100 km et des émissions de CO2 de 171g/km (contre 206 g pour l'ancien bloc 150 ch). Un 3.2 TDCi revendiquant 200 ch chapeaute la gamme.
L'instant Caradisiac : Bien de son temps, finalement...
A l'heure des voitures électriques et du « downsizing » à tout crin, l'exubérant Ranger a quelque chose de décalé et de rafraîchissant... Pour autant, il n'oublie pas les équipements high tech et contient de mieux en mieux ses émissions de CO2. Malgré les apparences, il évolue donc avec son époque.
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